La Petite Licorne
II (deux) traduction de Two Rooms
Par le Théâtre de la Vieille 17 et le Théâtre du Nouvel-Ontario, dont la directrice artistique, Geneviève Pineault, assure la mise en scène.
Un texte de Mansel Robinson, ce dramaturge ontarien que j’ai découvert il y a 5 ans à La Licorne avec Trains fantômes, un auteur qui m’a fortement marquée avec son écriture crue et intense et que j’ai retrouvée aussi forte dans Slague-L’histoire d’un mineur, l’année suivante: deux textes solos, deux points de vue sur la relation père-fils. Cette fois-ci, Mansel nous entraine dans un huis clos à deux voix au coeur d’un couple.
Les 3 textes ont été traduits par Jean Marc Dalpé qui se reconnait une parenté d’univers avec l’auteur et qui s’est fait un plaisir d’en être l’interprète dans Slague. Nous le retrouverons donc sur scène avec Elkahna Talbi dans cette production créée au printemps à Ottawa.
II (deux) traduction de Two Rooms
Par le Théâtre de la Vieille 17 et le Théâtre du Nouvel-Ontario, dont la directrice artistique, Geneviève Pineault, assure la mise en scène.
Un texte de Mansel Robinson, ce dramaturge ontarien que j’ai découvert il y a 5 ans à La Licorne avec Trains fantômes, un auteur qui m’a fortement marquée avec son écriture crue et intense et que j’ai retrouvée aussi forte dans Slague-L’histoire d’un mineur, l’année suivante: deux textes solos, deux points de vue sur la relation père-fils. Cette fois-ci, Mansel nous entraine dans un huis clos à deux voix au coeur d’un couple.
Les 3 textes ont été traduits par Jean Marc Dalpé qui se reconnait une parenté d’univers avec l’auteur et qui s’est fait un plaisir d’en être l’interprète dans Slague. Nous le retrouverons donc sur scène avec Elkahna Talbi dans cette production créée au printemps à Ottawa.
Placée sous le signe de la méfiance et de la suspicion, la pièce met en scène le policier Mercier et sa belle et brillante épouse musulmane, Maha. Jusqu’où peut aller le profilage racial ou la peur de l’Autre?
Critique: Aucunement décue par ce texte de Mansel Robinson, très bien défendue par de solides comédiens et qui nous amène à réfléchir sur notre intolérance et comment celle des autres peut nous influencer faussement et même dangereusement. À voir absolument!
Pièce présentée avec surtitres anglais les vendredis 21 et 28 septembre.
Texte publié aux Éditions Prise de parole.
www.prisedeparole.ca
Du 17 au 28 septembre 2012
AUSSI:
Ta douleur au Théâtre La Chapelle (voir page Danse)
Marie-Andrée Parent
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